avril 21, 2023

La cybersécurité est un terme qui englobe l’ensemble des outils, systèmes, pratiques, processus et procédures qui s’allient pour protéger les ressources numériques (matériel informatique, logiciel, réseaux, données) des cybermenaces ou cybernuisances, des initiés malveillants et des utilisateurs négligents. Avant tout destinée à identifer les accès non autorisés qui conduisent à des attaques, des dommages et à les stopper,breaches, la cybersécurité recouvre toutes sortes de solutions offensives et défensives, qui s’inscrivent généralement dans un riche maillage.

Les programmes informatiques construits autour de la cybersécurité considèrent toutes les formes de vulnérabilité et les vecteurs de menace (du vol d’identités et des violations de données au ransomware en passant par les armes numériques.

Les stratégies de cybersécurité doivent adopter une approche globale pour prévenir les accès non autorisés, l’altération, l’effacement, la destruction ou l’extorsion des biens et ressources numériques appartenant à un particulier ou à une organisation.

Les tactiques de cybersécurité visent à prendre en compte toutes sortes de menaces, y compris l’activité malveillante qui ciblent les ressources numérique dans le but :

  • D’obtenir un gain financier ;
  • De créer une perturbation généralisée ;
  • De faire valoir des intérêts politiques ;
  • De réunir des informations destinées à de futures activités criminelles ;
  • De saper des systèmes électroniques pour créer la panique ou la peur.

Comment marche la cybersécurité

Les stratégies et tactiques de cybersécurité dignes de ce nom font appel à tout un ensemble de solutions évolutives, pour éviter de se laisser distancer par les failles et les menaces. La la cybersécurité agit sur trois domaines :

  1. Les accès non autorisés ; 
  2. Les suppressions non autorisées ;
  3. Les modifications non autorisés.

Quelles que soient les méthodologies de cybersécurité employées, la plupart reposent essentiellement sur l’automatisation. L’automatisation fait partie intégrante de la plupart des solutions de cybersécurité, parce qu’il est impossible à des êtres humains de traiter d’énormes masses de données à la vitesse à laquelle elles sont produites. L’intelligence artificielle (IA) joue unrôle de plus en plus important dans l’automatisation de la cybersécurité, où elle intervient dans :

  • La détection des menaces : Elle analyse les données pour intercepter les menaces connues et identifier les comportements inhabituels susceptibles de signaler une activité malveillante ;
  • La réponse aux menaces :Elle crée des mesures de cybersécurité et les applique de façon dynamique d’après des déclencheurs générés automatiquement en fonction d’alertes d’activités suspectes ;
  • Le triage des alertes : Elle évalue automatiquement les alertes afin d’identifier les alarmes « faussement positives » et écarter celles qui nécessitent une attention humaine immédiate ;
  • L’analyse : Elle utilise l’automatisation qu’elle génère dans des programmes de cybersécurité pour classifier et hiérarchiser les signaux d’attaques et les malwares, suivre le trafic afin d’y détecter des anomalies et exercer un contrôle de la conformité.

Lors d’une explication sur son fonctionnement, il a été considéré que la confidentialité, l’intégrité et la disponibilité (CID) constituaient l’ossature de la cybersécurité. À ce cadre a été ajoutée la sûreté, reconnue généralement comme une amélioration du modèle. À elles quatre, elles forment la pierre angulaire de la cybersécurité.

La confidentialité

L’objectif de la confidentialité dans le cadre d’une stratégie de cybersécurité est de restreindre l’accès aux ressources aux seuls utilisateurs autorisés afin de protéger les informations sensibles.

L’intégrité

Dans le cadre de l’intégrité, les protections visent à garantir que les ressources restent conformes à leur objet ou telles qu’à l’origine, et à les prémunir contre des modifications ou une destruction inopinées. Il s’agit également de maintenir la non-répudiation et l’authenticité de toutes les ressources.

La disponibilité

L’un des rôles importants de la cybersécurité est de veiller à ce que les utilisateurs aient accès aux ressources informatiques (données, systèmes et services) en temps voulu et en toute fiabilité.

La sûreté

Au regard de la cybersécurité, la sûreté consiste à réduire les risques encourus avec les ressources informatiques et à prévoir des défenses contre les attaques. Et notamment, de prendre des mesures pour que seuls des utilisateurs autorisés aient accès aux systèmes et aux données et que des alertes se déclenchent si un accès non autorisé est détecté.

Pourquoi la cybersécurité est importante

C’est l’étendue des données numériques et la dépendance aux données qui détermine l’importance de la cybersécurité. Pour ainsi dire, chaque individu, chaque organisation en est tributaire. Cela signifie que les systèmes qui collectent ces données, les traitent, les gèrent et les stockent doivent être protégées d’un vaste écosystème de menaces persistantes, qui vont des salariés mécontents au cyberterrorisme promu par un État.

Si toutes les données doivent être protégées, certaines nécessitent un niveau supérieur de cybersécurité. Les données considérées comme des informations sensibles (par exemple la propriété intellectuelle, les données financières, les informations personnelles, les données médicales, les données des gouvernements et les renseignements de l’Armée) sont ciblés par toutes sortes de malfaiteurs.

Même si elle ne cesse de se perfectionner, la cybersécurité est sans cesse mise au défi de rester informée des tentatives pour stopper :

  • Les cyberattaquants
  • La perte de données 
  • Le transfert de risques.
  • Des obligations changeantes vis-à-vis de la sécurité

De plus, la surface d’attaque que doivent protéger les solutions de cybersécurité continue à s’étendre. On assiste notamment à une énorme croissance dans :

  • Les réseaux
  • Le volume des données
  • L’infrastructure informatique
  • Les appareils connectés
    • L’internet des objets (IoT)
    • L’internet des objets de consommation (CIoT)
    • L’internet industriel des objets (IIoT)
    • L’internet des objets médicaux (IoMT)
    • L’internet des objets des villes intelligentes (IoTSC) 

Les trois problèmes les plus couramment cités dans la cybersécurité sont l’avalanche de données, des menaces qui évoluent constamment, ainsi que les professionnels de la cybersécurité et le manque de compétences.

  1. L’avalanche de données
    L’ampleur et la vitesse à laquelle les données sont produites poussent l’entreprise à la limite de ses capacités, et elle n’a plus les moyens de les traiter correctement. La cybersécurité englobe tous les aspects de la collecte et du traitement des données, de la façon dont on y accède, comment elles sont gérées et protégées au cours de leur cycle de vie.  

    Dans certains cas, la gouvernance des données et la gestion de données tombent dans la catégorie de la cybersécurité. Et plus la quantité de données augmente, plus la surface d’attaque et l’écosystème des cyberattaquants s’amplifient.
  2. Des menaces qui évoluent sans cesse
    La constante évolution des menaces et des cyberattaquants est l’un des aspects les plus problématiques de la cybersécurité. L’innovation technologique procure de nombreux avantages mais elle donne lieu à de nouveaux vecteurs d’attaque, qui profitent de la nouveauté des systèmes et de leurs failles.  

    Les systèmes de cybersécurité doivent s’adapter en permanence pour ne pas se laisser distancer par les changements et les progrès dans les angles d’attaque. Lorsque même les plus grosses organisations ont du mal à faire face, les plus petites sont confrontées à des risques croissants.   
  3. La pénurie de professionnels de la cybersécurité et le manque de compétences adéquates 
    La pénurie de personnel qualifié en cybersécurité est un gros problème pour les services informatiques. L’avalanche de données et les menaces en constante évolution suscitent une demande en personnel qualifié et le déficit qui en découle.

Les types de menaces de cybersécurité

Les menaces de cybersécurité ne cessent d’augmenter et d’évoluer. En voici plusieurs parmi les plus prévalentes auxquelles les solutions de cybersécurité remédient :

Les menaces persistantes sophistiquées (APT)

Les attaques ciblées prolongées, dans lesquelles un attaquant s’introduit sur un réseau, où il se tient en embuscade sans être détecté avant de faire son coup, sont classées dans la catégorie des menaces persistantes sophistiquées.

Le cyberterrorisme

Une attaque qui obéit à une motivation politique ou idéologique est considérée comme du cyberterrorisme. Elle s’en prend aux biens numériques, dans l’intention de nuire et de créer une perturbation généralisée. Ces attaques bénéficient souvent du concours d’États et sont extrêmement sophistiquées, ce qui rend les défenses de cybersécurité relativement impuissantes à protéger les cibles.

Le déni de service (DDoS)

Dans une attaque avec déni de service (DDos), les cybercriminels passent par plusieurs systèmes pour submerger les réseaux et les serveurs de trafic afin d’empêcher des demandes de service légitimes d’être traitées. Cela rend les systèmes inutilisables et empêche l’organisation qui en est victime de faire son travail.

Les malwares

Des logiciels malveillants, désignés sous le terme de malware, sont conçus et développés pour provoquer des dommages et une perturbation, du vol de données à la demande de rançon. Les solutions logicielles de cybersécurité s’efforcent d’intercepter les malwares avant qu’ils aient pu être activés.

Cependant, comme les malwares sont généralement déclenchés quand des utilisateurs ouvrent des pièces jointes infectées, l’éducation et la formation sont des aspects décisifs de tout programme de cybersécurité d’une organisation. Voici quelques-uns des malwares qui peuvent être déjoués par une cybersécurité dignes de ce nom :

  • Les adwares : on les appelle aussi des programmes potentiellement non désirés, c’est-à-dire installés sans la permission des utilisateurs. Ils présentent aux utilisateurs des publicités en ligne non sollicitées
  • Les botnets: ce terme désigne un réseau d’ordinateurs infectés par des malwares, qui sont commandés à distance et utilisés pour réaliser des tâches en ligne sans la permission des utilisateurs ; par exemple le partage de données sensibles ou l’accès à d’autres systèmes
  • Les ransomwares: ils bloquent les fichiers et les données, généralement par chiffrement, puis réclament le versement d’une rançon pour débloquer les fichiers
  • Les spyware : ils enregistrent secrètement ce que font les utilisateurs (par exemple en surveillant les touches de clavier qu’ils utilisent pour leur voler les informations d’une carte de crédit)
  • Les chevaux de Troie : ils se font passer pour des logiciels légitimes pour inciter les utilisateurs à télécharger sur leur système un malware qui endommage les données ou les dérobe
  • Les virus : ce sont des logiciels qui s’autorépliquent et qui s’agrègent à des fichiers légitimes pour se répandre dans les systèmes et infecter les fichiers avec un programme malveillant
  • Les vers : ils s’autorépliquent et se répandent dans les réseaux en infectant d’autres systèmes au passage

L’attaque MITM (« man-in-the-middle »)

L’attaque man-in-the-middle a lieu lorsque des cybercriminels interceptent des communications entre deux personnes pour leur voler des données. Il est difficile d’y remédier par des logiciels de cybersécurité mais les attaques MITM peuvent être atténuées par l’éducation des utilisateurs sur les dangers de l’utilisation de réseaux wifi non sécurisés.

Le hameçonnage, ou phishing

Les cybercriminels envoient à leurs victimes des e-mails provenant de sources qui paraissent légitimes (banques, magasins, amis) et qui contiennent des liens dangereux qui, si l’on clique dessus, téléchargent automatiquement un logiciel malveillant ; ou bien ils trompent l’utilisateur en l’envoyant vers un site qui l’invite frauduleusement à donner le numéro de sa carte de crédit ou d’autres informations sensibles. Ce que l’on appelle le hameçonnage, ou phishing, peut être limité par des logiciels de cybersécurité, mais aussi en éduquant les utilisateurs et en les formant. Le harponnage (ou « spear phishing » procède de la même manière mais cible des utilisateurs ou des organisations bien précises.

Les attaques physiques

Des mesures de cybersécurité adaptées permettent également de parer aux menaces liées à un accès non autorisé à des espaces physiques dans le but de s’introduire sur les réseaux et dans les systèmes. Les systèmes de protection comprennent des barrières numériques qui empêchent les attaquants d’accéder aux systèmes et aux réseaux, même s’ils ont pénétré par effraction dans des périmètres physiques.

L’injection de langage SQL

Une injection de langage SQL (pour « structured language query ») est une violation qui cible des bases de données. L’injection de langage SQL commence par trouver les failles des applications puis utilise ces points d’accès pour insérer un programme malveillant dans une base de données SQL. À partir d’une formule SQL malveillante, les cybercriminels peuvent mettre la main sur la base de données et en exfiltrer les données.

Les stratégies de cybersécurité

Dans une stratégie de cybersécurité, il y a fondamentalement trois composantes :

  1. La gouvernance
    Les documents et les processus par lesquels une organisation dirige et contrôle la cybersécurité ;
  2. Les technologies
    Le matériel informatique et les logiciels qui se conjuguent pour assurer une défense contre les menaces de cybersécurité ;
  3. Les opérations
    La mise à exécution des stratégies de cybersécurité utilisant des éléments techniques et de gouvernance ;

Voici quelques exemples de stratégies de cybersécurité :

  • La création d’un cadre d’assurance en cybersécurité ;
  • La mise en place d’un écosystème complet de cybersécurité et sa gestion sur la durée ;
  • Le renforcement des cadres de gouvernance de l’organisation ;
  • Les normes ouvertes, qu’on peut mettre à profit ;

Les technologies de cybersécurité ;

La sécurité des applications 

La sécurité des applications concerne la conception, la mise au point, les tests, le déploiement et la maintenance de fonctionnalités de cybersécurité dans les logiciels. L’objectif de la sécurité des applications est de découvrir les failles et d’y remédier dans des mini-programmes qui peuvent être exploités pour s’y introduire et apporter des modifications.

La sécurité dans le cloud

La sécurité dans le cloud comprend les systèmes et les logiciels de cybersécurité utilisés pour la conception, le développement, le déploiement et la maintenance d’applications et d’architectures dans le cloud.

La récupération des données et la planification de la continuité de service

Dans l’optique du rétablissement après sinistre et de la planification de la continuité de service, un aspect important consiste à élaborer des plans qui détaillent comment réagir à une attaque ou tout autre événement perturbateur pour les opérations ou la perte de données. Quels que soient les plans de rétablissement, la cybersécurité doit être intégrée à chaque étape pour s’assurer que les risques sont pris en compte et que, dans la hâte de reprendre le travail, l’on ne crée pas de failles.

La gestion des identités

Englobant tous les aspects de l’accès (par exemple les activités, les cadres de travail, les processus) la gestion des identités est une composante fondamentale de tout programme de cybersécurité. C’est elle qui permet aux services informatiques et au personnel affecté à la sécurité de contrôler les droits d’accès des personnes et des systèmes et d’en rendre compte.

La sécurité des données

La protection de l’intégrité et de la confidentialité des données (c’est-à-dire des données pendant un transfert et des données au repos) à l’intérieur des réseaux, des applications et des lieux de stockage relève de la sécurité des données.

La sécurité de l’IoT (Internet of Things)

Unanimement considéré comme la plus vaste surface d’attaque, l’IoT nécessite des systèmes de cybersécurité particuliers, car la cybersécurité traditionnelle est impuissante à répondre à ses besoins.

La sécurité mobile

La sécurité mobile couvre la protection des informations stockées sur un appareil mobile (téléphones, ordinateurs portables, tablettes et autres appareils connectés). Les solutions de sécurité mobile sont généralement adaptées à vos besoins ou personnalisées pour répondre à des problèmes particuliers, tels que l’accès non autorisé, la perte ou le vol des appareils, les malwares, etc.

La sécurité des réseaux

La sécurité des réseaux remédie aux failles de sécurité des systèmes d’exploitation et des architectures réseaux au moyen d’outils logiciels et matériels, dans le but d’empêcher les accès non autorisés, les perturbations et les détournements. Les solutions de cybersécurité pour les réseaux protègent les serveurs, les hébergeurs, les pare-feux, les points d’accès sans fil et les protocoles réseaux.

La sécurité opérationnelle

La sécurité opérationnelle oriente les décisions sur la façon de traiter et de protéger les biens que sont les données. Elle concerne aussi la mise en place de procédures détaillant où et comment conserver les données, ainsi que des règles relatives à l’usage et au partage.

L’éducation et la formation des utilisateurs

Souvent négligées, l’éducation et la formation sont largement reconnues pour leur importance et leur efficacité dans la cybersécurité. Sans relever directement de la technologie, l’éducation et la formation des utilisateurs sont élaborées et diffusées sur des plateformes en ligne.

Étant donné l’imprévisibilité du facteur humain dans la cybersécurité, l’éducation et la formation sont capitales pour tenter de contenir ce risque.

L’éducation et la formation à la cybersécurité des utilisateurs de terrain doivent aborder des aspects aussi divers qu’une sensibilisation générale aux cybermenaces ou la façon de repérer une tentative de phishing.

Les patiques homologuées en cybersécurité

Voici vingt pratiques professionnelles reconnues pour mettre en place une cybersécurité digne de ce nom :

  1. Évitez le partage des comptes (les utilisateurs doivent avoir des comptes qui leur sont propres).
  2. Interdisez l’utilisation des réseaux wifi publics.
  3. Contrôlez l’accès physique à vos ordinateurs et aux composants du réseau.
  4. Élaborez des règles de cybersécurité et faites-les appliquer.
  5. Apprenez aux utilisateurs à s’abstenir d’ouvrir des pièces jointes aux e-mails dont ils ne connaissent pas l’expéditeur ou de cliquer sur des e-mails provenant d’expéditeurs ou de sites web inconnus.
  6. Chiffrez les données en cours de transfert et au repos.
  7. Évaluez la sécurité physique de l’organisation.
  8. Suivez les pratiques professionnelles DevSecOps.
  9. Obligez les utilisateurs à changer régulièrement de mot de passe.
  10. Appliquez un solide plan de continuité du service et de réponse aux incidents.
  11. Faites plus de sensibilisation à l’importance de la cybersécurité dans l’organisation.
  12. Effectuez les mises à jour des logiciels et des systèmes d’exploitation et faites de l’installation des correctifs de sécurité les plus récents une priorité
  13. Limitez l’accès aux ressources minimales nécessaires pour remplir les tâches (c’est-à-dire, suivez leprincipe du moindre privilège pour les accès).
  14. Faites des sauvegardes de toutes les données stratégiques.
  15. Procédez régulièrement à des évaluations de risque.
  16. Protégez les connexions internet par des pare-feux.
  17. Exigez l’utilisation de mots de passe difficiles à deviner.
  18. Procédez régulièrement à l’analyse de tous les systèmes.
  19. Sécurisez les réseaux wifi. 
  20. Utilisez des antivirus/antimalware.

Les solutions de cybersécurité

Voici quelques-uns des outils et systèmes courants de cybersécurité :

  • Les antimalware / antivirus
  • Les « CASB »(« Cloud access security broker », agent de sécurité des accès au cloud) 
  • La « CWPP » (« Cloud workload protection platform », plateforme de protection de la charge de travail dans le cloud)
  • La prévention de perte de données (DLP) 
  • Les outils de chiffrement
  • La détection et l’intervention aux points terminaux
  • La protection des terminaux
  • Les pare-feux
  • La gestion des identités et de l’accès (IAM) 
  • Les systèmes de prévention/détection des intrusions (IPS/IDS) 
  • L’authentification multifactorielle 
  • L’information sur la sécurité et la gestion des événements (SIEM) 
  • L’authentification unique 
  • La gestion des risques tiers
  • Les réseaux virtuels privés (VPN) 
  • Les détecteurs de failles

La cybersécurité : un défi qui comporte bien des avantages

C’est vrai, la cybersécurité n’est pas évidente à appliquer. le paysage des menaces ne cesse de changer, et la surface d’attaque s’agrandit nuit et jour. À chaque amélioration obtenue grâce aux nouveaux logiciels et matériels informatiques correspond de nouvelles failles de cybersécurité.

Mais il ne faut pas s’arrêter à ces difficultés, car la cybersécurité est incontournable pour toute organisation.

Si elle pose un certain nombre de problèmes, la cybersécurité offre également de nombreux avantages :

  • La continuité de service
  • Des défenses contre les cyberattaques
  • Un rétablissement plus rapide en cas d’incident de cybersécurité
  • La prévention des accès non autorisés
  • La protection des utilisateurs de terrain et des appareils terminaux
  • La conformité aux règlementations
  • L’arrêt d’une violation des données ou l’atténuation de ses conséquences

Les investissements dans la cybersécurité valent largement les moyens à mettre en œuvre pour entamer un programme solide et le gérer sur la durée.

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